Planchiste en difficulté : Fausse alerte.

Le vent est Suroît 6B (vent Frais) pour une mer 4 (agitée) en ce jour de février lorsqu’un témoin signale un véli­plan­chiste en diffi­culté à envi­ron 200 m face à la croix de Lorraine en milieu d’après-midi. Possible démâ­tage.

Le Cross Jobourg engage aussi­tôt la SNS 630 – la marée est descen­dante – et des sapeurs-pompiers pour un relais visuel ainsi que deux canot de sauve­tage légers (CSL). Rapi­de­ment, le SR de la station appa­reille et fait route sur zone. Les sapeurs-pompiers signalent l’ab­sence de plan­chistes en diffi­culté alors que les sauve­teurs enga­gés arrivent au contact de deux véli­plan­chistes qui informent égale­ment ne pas être en diffi­culté. Aucun autre pratiquant sur zone.
Liberté de manœuvre est donnée à l’en­semble des moyens qui regagnent la plage. Opéra­tion close.
Le témoin qui a quitté la zone a cru bien faire, les plan­chistes ne navi­guaient pas dans des condi­tions parti­cu­liè­re­ment dégra­dées. Ce n’est pas grave…
Un autre plan­chiste en diffi­culté ? 196 bien sûr ! et c’est la chaîne des secours en mer qui se met en place, 6 minutes aujour­d’hui entre l’ap­pel initial et l’en­ga­ge­ment de la station.
C’est la première inter­ven­tion de l’an­née, il y a en aura d’au­tres…